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Devenir consultant auto-entrepreneur ou assistant administratif à domicile auto-entrepreneur constitue une solution intéressante pour pratiquer un métier. Le statut auto-entrepreneur présente d’ailleurs de nombreux avantages, notamment :

  • Les formalités de création simples ;
  • La fiscalité avantageuse ;
  • Le régime social simplifié ;
  • Le fonctionnement simple.

Est-il possible d’être consultant auto entrepreneur ?

Être consultant avec le statut auto-entrepreneur est bien possible. En effet, le métier de consultant peut être exercé sous différents statuts. Le choix du statut dépend généralement de l’activité et de l’ampleur du projet. Une entreprise individuelle est tout à fait adaptée au métier de consultant en management, en informatique, en ingénierie, en immobilier…

Le statut auto-entrepreneur consultant se montre aussi efficace pour tester le projet ou se lancer dans l’activité. Les formalités pour créer son entreprise sont simplifiées pour favoriser la réalisation du projet. Ce régime présente également d’autres avantages. Il est tout de même important de préciser que l’auto-entreprise ou la micro-entreprise n’est pas une société dans le sens juridique du terme.

À noter : L’auto-entreprise n’est pas recommandée pour créer une entreprise de conseil.

Quel est le meilleur statut juridique pour un consultant ?

Pour devenir consultant indépendant, l’entrepreneur peut choisir entre plusieurs statuts juridiques : freelance, micro-entreprise et création de société. Ce tableau comparatif permettra de trouver le meilleur statut juridique.

Avantages Inconvénients
Devenir consultant en freelance
  • Possibilité de choisir entre plusieurs statuts pour créer une entreprise individuelle, ou une EURL, une SASU… ou encore travailler dans le cadre d’un portage salarial.
  • Responsabilité limitée aux apports dans le cas d’une EURL, une SASU ou d’une EI, ce qui permet de protéger le patrimoine personnel.
  • Grande liberté d’organisation.
  • Formalités de création d’entreprise plus lourdes.
  • Comptabilité et obligations administratives plus lourdes par rapport à la micro-entreprise.
  • Soumis à la TVA.
  • Patrimoine personnel non protégé dans le cas d’une entreprise individuelle.
Devenir consultant en micro entreprise
  • Formalités de création simples et moins coûteuses.
  • Exonération de TVA à un certain seuil de chiffres d’affaires.
  • Régime fiscal et social simplifié.
  • Comptabilité facilitée.
  • Passage vers une forme sociétale possible.
  • Responsabilité limitée : les patrimoines personnels et professionnels ne sont pas séparés.
  • Récupération de la TVA impossible.
  • Plafond de chiffre d’affaires à respecter.
Devenir consultant en créant une société
  • Choix de statut : EURL, EI ou SASU.
  • Possibilité de développement.
  • Protection du patrimoine personnel grâce à la responsabilité limitée aux apports.
  • Possibilité de monter une entreprise de conseil et d’exercer les différentes activités.
  • Passage à une société avec plusieurs associés possible.
  • Formalités de création de société plus importantes.
  • Obligations comptables plus lourdes par rapport à la micro entreprise.
  • Fonctionnement plus encadré et règlementé.

Pourquoi devenir consultant auto-entrepreneur : avantages et inconvénients

Devenir consultant auto-entrepreneur est intéressant, surtout pour lancer une activité. De plus, le marché du consulting connaît un développement continu depuis 2015. Le statut auto-entrepreneur présente de nombreux avantages, mais aussi des inconvénients pour l’exercice du métier de conseil comme activité principale.

Devenir consultant auto-entrepreneur : les avantages

Le statut auto-entrepreneur est le plus apprécié pour exercer le métier de consultant pour les avantages qu’il offre. D’abord, la création de la micro entreprise se fait facilement en quelques étapes simples. Le fonctionnement de l’auto-entreprise s’avère également plus simple par rapport aux autres formes de société et l’entreprise individuelle. Les principaux avantages du consultant auto-entrepreneur concernent plusieurs points. Les explications.

Création de la micro entreprise simple et moins onéreuse

Les formalités de création de l’entreprise pour devenir consultant auto-entrepreneur se font en ligne. Les démarches sont simples : elles comprennent la déclaration de l’activité et l’immatriculation de l’auto-entrepreneur. L’entrepreneur désirant se lancer dans le métier de consultant auto-entrepreneur indépendant n’a nul besoin de rédiger des statuts ni d’évaluer les apports. De plus, le coût de la création de la micro entreprise est moins élevé que celui des autres formes de société. Il est tout de même important d’avoir connaissance du délai de création de la micro-entreprise avant d’effectuer les démarches.

Comptabilité légère

La comptabilité du consultant auto entrepreneur se montre simple grâce au régime fiscal et social simplifié de l’entreprise. En effet, l’entrepreneur n’est tenu de payer des cotisations sociales que s’il réaliser un chiffre d’affaires. De plus, les obligations comptables de l’auto entrepreneur sont légères. La franchise de base de TVA allège la comptabilité.

Franchise de base de TVA

Il faut connaître les avantages de l’auto-entrepreneur liés à la TVA. En principe, la TVA du consultant indépendant bénéficie de la franchise de base de TVA. En plus clair, il peut ne pas facturer de TVA à ses clients. Cette disposition lui permet de proposer des tarifs moins élevés. Il est tout de même important de préciser que le régime de franchise de TVA en auto-entrepreneur s’applique à condition que le chiffre d’affaires ne dépasse pas les 36 800 €.

Régime social simplifié

L’auto-entrepreneur consultant profite d’un régime social simplifié. Il peut effectivement bénéficier du régime micro social qui lui permet de payer un forfait de cotisations sociales en fonction de son chiffre d’affaires. Ainsi, il devient plus facile d’anticiper les dépenses. Il est aussi important d’avoir connaissance du délai de création avant d’effectuer les démarches.

Régime fiscal allégé

Le consultant auto-entrepreneur bénéficie d’un régime fiscal simplifié et allégé, le régime micro-BIC. Il peut opter pour le versement fiscal libératoire ou le calcul d’impôt en fonction du chiffre d’affaires réalisé.

Évolution vers une société simple

Le statut d’auto-entrepreneur permet au consultant d’évoluer facilement à une entreprise. Cette alternative se montre intéressante si l’entrepreneur décide de s’associer ou s’il dépasse le plafond des chiffres d’affaires défini.

Devenir consultant auto-entrepreneur : les inconvénients

Devenir consultant auto-entrepreneur fait profiter de plusieurs avantages. Toutefois, ce statut présente des inconvénients.

Plafond de chiffre d’affaires à respecter

Sous le statut d’auto-entrepreneur, le consultant doit respecter un plafond de chiffre d’affaires. Le fait de dépasser le seuil fixé (70 000 € par an) fait perdre à l’entrepreneur les avantages du régime. Cette disposition peut être contraignante pour le développement de l’activité. Si les affaires se portent bien, il faut passer au statut de société pour assurer l’évolution du projet.

Afin de bénéficier de la franchise de base de TVA, le consultant auto-entrepreneur doit aussi respecter un seuil de chiffre d’affaires. Les seuils à respecter sont les suivants :

  • 36 800€ pour la première année d’activité ;
  • 39 100€ pour la période de tolérance l’année suivante.

Évolution limitée

Le statut d’auto-entrepreneur tend à limiter l’évolution de l’activité à cause du plafond du chiffre d’affaires et de l’impossibilité de faire entrer des associés.

Responsabilité illimitée du consultant entrepreneur

Le statut auto-entrepreneur ne permet pas de protéger le patrimoine personnel du consultant en cas de problèmes financiers. plus précisément, les biens de l’entrepreneur peuvent être saisis pour rembourser les dettes de l’entreprise. Bien qu’il existe des solutions pour limiter la responsabilité de l’entrepreneur comme la déclaration d’insaisissabilité, la responsabilité illimitée du consultant entrepreneur présente un risque.

Comment devenir consultant indépendant étape par étape ?

Pour devenir consultant indépendant, il faut remplir certaines conditions et réaliser les démarches de création d’entreprise. Le point sur les prérequis du métier de consultant en auto-entrepreneur.

Les conditions à remplir pour devenir consultant auto-entrepreneur

L’entrepreneur qui souhaite se lancer dans le métier de consultant en tant qu’auto-entrepreneur doit respecter la réglementation des activités de conseils et les règles concernant la création d’une micro entreprise.

La réglementation des activités de conseils

Pour devenir consultant indépendant, il faut justifier d’un diplôme et d’autres formalités pour les activités de conseils règlementés comme le consultant en immobilier, les conseils en investissements financiers, consultant juridique ou l’expertise comptable. Selon l’activité, d’autres formalités peuvent être exigées comme la souscription à une assurance de responsabilité civile professionnelle, la présentation d’une carte professionnelle ou l’inscription à un ordre. Il existe également d’autres formateurs indépendants. En ce qui concerne les activités non règlementées, il n’y a aucune obligation pour devenir consultant auto-entrepreneur en informatique, en SEO, en stratégie, en recrutement, en communication, en organisation ou freelance en marketing.

Afin de s’assurer qu’une activité de conseil est règlementée ou non, il est conseillé d’aller sur le site de l’AFE création.

Les règles pour la création de l’auto-entreprise

La création d’une auto-entreprise est accessible à une personne physique souhaitant créer une entreprise individuelle. L’entrepreneur doit exercer une activité commerciale, libérale ou artisanale à titre principal.

Les démarches à suivre pour devenir consultant auto-entrepreneur

La procédure à suivre pour devenir auto-entrepreneur consultant est simple. Comme l’activité de conseil fait partie des professions libérales, elle dépend de l’INPI. Il suffit donc de déclarer le début d’activité sur le site du guichet des entreprises ou sur le portail de l’auto-entrepreneur. Il est important de préciser que l’immatriculation est gratuite sur ces pages. La déclaration consiste généralement à informer les différentes institutions du lancement de l’activité de consultant en auto-entreprise. L’entrepreneur va déterminer son régime fiscal, la dénomination de sa micro-entreprise, la périodicité des cotisations sociales.

Lors de la déclaration d’activité en vue de l’immatriculation, il faut présenter les pièces justificatives nécessaires :

  • Une copie de la pièce d’identité en cours de validité ;
  • Un justificatif de domicile ;
  • Une déclaration sur l’honneur de non-condamnation avec la filiation ;
  • Les documents requis pour une activité règlementée.
À noter : La demande d’ACCRE doit être envoyée sous 45 jours après les formalités de création de la micro entreprise. En plus de la déclaration de début d’activité et la préparation du dossier d’immatriculation, le consultant auto-entrepreneur est tenu d’ouvrir un compte bancaire spécial à son activité pour faciliter la comptabilité.

Consultant auto-entrepreneur : quel régime social, quelle fiscalité ?

Le régime social et la fiscalité du consultant auto-entrepreneur sont plus ou moins allégées. En effet, ses charges concernent principalement les cotisations sociales, la cotisation foncière des entreprises, la contribution à la formation professionnelle (0,1 % du CA en 2018) et son imposition.

régime social du consultant auto-entrepreneur

Le consultant auto-entrepreneur est affilié au régime social du Travailleur Non Salarié. La perception des cotisations sociales est assurée par trois caisses : l’URSSAF pour les allocations familiales, la CIPAV pour l’assurance vieillesse et la CPAM (ancien RSI) pour l’assurance maladie.

À noter : La CPAM remplace progressivement la RSI depuis 2019.

Les formalités liées au régime social sont légères. Il suffit d’envoyer par courrier ou en ligne la déclaration de chiffre d’affaires et le paiement à l’URSSAF. Il est important de préciser que si le chiffre d’affaires dépasse les 16 450 €, le paiement et la déclaration se font exclusivement en ligne. Pour le consultant auto-entrepreneur le taux est fixé à 22 % du chiffre d’affaires.

La fiscalité du consultant auto-entrepreneur

La fiscalité du consultant auto-entrepreneur se calcule selon le régime du micro-BIC ou micro-BNC. L’entrepreneur peut choisir entre le prélèvement à la source ou le prélèvement libératoire.

Le prélèvement à la source

Dans le cadre de ce régime fiscal, l’impôt du consultant auto-entrepreneur se calcule sur la base de sa déclaration de revenus annuels. L’entrepreneur doit déclarer son chiffre d’affaires sur le formulaire 2042-C-PRO. Le montant de l’impôt sur le revenu global sera déterminé en considérant les revenus auto-entrepreneur et les revenus du foyer fiscal. Pour l’activité de conseil (et toutes les activités de prestations de services libérales), un abattement de 34 % sur le chiffre d’affaires annuel sera retenu. Le bénéfice imposable sera donc à la hauteur de 66 % sur le chiffre d’affaires.

Depuis 2019, le versement de l’impôt sur le revenu doit se faire sous forme d’acomptes, et ce, tous les mois ou tous les trois mois. Les acomptes sont calculés en se basant sur la déclaration de revenus de l’année 2018 pour l’année 2019 et ainsi de suite. Le nouveau consultant auto-entrepreneur peut établir la déclaration de revenus pour 2019 en septembre 2020 ou s’acquitter des acomptes calculés en utilisant le simulateur de l’administration fiscale.

Le prélèvement libératoire

Sous ce régime fiscal, l’impôt sur l’activité de consultant en auto-entrepreneur sera prélevé tous les mois ou tous les trois mois. Le taux de prélèvement libératoire pour l’activité de conseil (une activité libérale) s’élève à 2.2 % du chiffre d’affaires. Pour connaître le barème applicable aux autres revenus du foyer, l’entrepreneur doit remplir la déclaration 2042-C-PRO.

Le consultant auto-entrepreneur peut opter pour le versement fiscal libératoire si son revenu ne dépasse pas les pas 27 086 € par part du quotient familial.

À noter : Le seuil était de 26 818 € en 2018.

Le consultant auto-entrepreneur peut également être tenu à verser d’autres taxes comme la Cotisation Foncière des Entreprises. Depuis 2019, une exonération de la CFE est possible si son chiffre d’affaires annuel ne dépasse pas les 5000 €.

Consultant indépendant : quid du business plan ?

Pour exercer le métier de consultant indépendant et assurer le développement de l’activité en auto-entreprise, il est important de créer un business plan complet.

À quoi sert le business plan ?

Le consultant indépendant se doit d’établir un business plan pour évaluer la viabilité de son projet. Il s’agit d’effectuer une étude financière permettant de prendre les décisions sur le choix du statut et du régime fiscal. Ce document stratégique permet d’estimer la rentabilité de l’activité de conseil et les bénéfices. Il est également essentiel pour définir les paramètres du projet.

Comment rédiger le business plan du consultant indépendant ?

De manière générale, le business plan du consultant auto-entrepreneur comporte deux parties : la partie économique et la partie financière. La présentation du projet de création d’activité n’est pas souvent nécessaire.

La partie économique du business plan du consultant indépendant

La partie économique du business plan du consultant indépendant comprend généralement :

  • La présentation les compétences et les expériences du consultant ;
  • La présentation du marché ;
  • La stratégie marketing ;
  • La description des services proposés ;
  • Les indicateurs essentiels à l’activité : durée de mission, tarif horaire ou forfaitaire de la prestation, le taux de transformation de prospects en client…

La partie financière du business plan du consultant indépendant

Le contenu de la partie financière du business plan du consultant indépendant dépend du projet. Il peut être nécessaire d’y mentionner le droit d’entrée si le futur consultant prévoir rejoindre un réseau de franchise et les frais généraux (loyer, frais de déplacement, frais bancaires, assurance…). Il peut aussi être nécessaire de prévoir les frais de communication et les différentes charges.

Bon à savoir : les frais de débours d’un auto-entrepreneur constituent un moyen légal et efficace pour déduire les achats professionnels.

L’élément essentiel à indiquer dans cette partie est le chiffre d’affaires prévisionnel. L’estimation doit se faire en fonction des contrats en cours de négociation et les résultats obtenus lors de l’étude du marché. Pour faciliter la lecture du business plan, il est recommandé de produire des tableaux financiers prévisionnels comme un tableau de trésorerie, un tableau de bilan prévisionnel et un tableau de compte de résultat.

Exemple d’objet social pour un conseiller indépendant

Le conseiller indépendant voulant créer une entreprise individuelle ou une société se doit d’avoir un objet social. Il s’agit de choisir le domaine d’activité adaptée dans la liste du Guichet des Entreprises. En principe, les domaines sont regroupés sous la dénomination de conseil.

Le consultant indépendant doit choisir un domaine d’activité ou son activité. L’objet social du conseiller indépendant peut être :

Qu’est-ce qu’un consultant auto-entrepreneur ?

Un consultant auto entrepreneur est un entrepreneur qui se lance dans l’exercice d’une activité de conseil sous le statut d’auto-entrepreneur.

Le consultant formateur auto entrepreneur

Le consultant formateur auto-entrepreneur propose des prestations de service intellectuel. Il est classé dans la catégorie de l’auto-entrepreneur ou profession libérale non règlementée, ce qui permet à de nombreux entrepreneurs de se lancer. Ce professionnel a pour mission de conseiller et d’accompagner le client en tant qu’expert. Le consultant auto-entrepreneur formateur se charge de la préparation des supports de formation, d’effectuer une veille économique et technique dans son secteur d’activité, de préparer la formation, d’évaluer la session. Ceci, afin d’atteindre l’objectif fixé par le client.

Qu’est-ce qu’un consultant auto-entrepreneur en immobilier ?

Le métier de consultant immobilier indépendant attire de plus en plus de professionnels. Le consultant immobilier auto-entrepreneur travaille à son propre compte. Il se place comme intermédiaire entre le vendeur et l’acheteur de biens immobiliers et intervient dans la plupart du processus de vente. Ce professionnel a pour mission de conseiller les clients, de rédiger les annonces immobilières, de négocier et d’estimer les prix, de trouver des biens, de réaliser les transactions et d’organiser les visites.

Le consultant en sécurité auto-entrepreneur

Le consultant en sécurité auto-entrepreneur est un professionnel indépendant qui s’assure de préserver la confidentialité des données et leur intégralité. Ce profil est de plus en plus recherché par les entreprises souhaitant sécuriser leurs systèmes d’exploitation et leurs réseaux informatiques. Le but du consultant en sécurité est de prévenir la cybercriminalité. Pour ce faire, ces missions concernent : la mise en place d’une politique de sécurité, la garantie de la sécurité des transactions électroniques, la sensibilisation des clients sur les soucis de sécurité, la recherche de solution en cas de problèmes de sécurité, la veille technologique…

Le consultant informatique auto-entrepreneur

Le consultant informatique auto-entrepreneur, consultant IT ou analyste informatique, prodigue des conseils et propose des solutions techniques sur tout ce qui touche au système informatique. Il travaille souvent pour une entreprise souhaitant faire évoluer son système d’information, et ce, à titre de professionnel indépendant. Pour ce faire, il réalise plusieurs missions :

  • Analyser du système informatique ;
  • Déterminer les besoins informatiques du client ;
  • Mettre en place des solutions ;
  • Conseiller et accompagner le client dans l’intégration d’un nouveau système.

Les activités de conseil pouvant être réalisé en tant qu’entrepreneur sont encore nombreuses. Il est entre autres possible de devenir consultant auto-entrepreneur en organisation, en marketing, en mercatique, en stratégie, en gestion des ressources humaines.

Consultant auto-entrepreneur : quelques conseils avant de vous lancer…

Le succès du consultant auto-entrepreneur dépend de sa préparation. Ci-après quelques conseils essentiels à suivre avant de se lancer pour réussir son projet et développer son activité.

Déterminer les clients cibles

Déterminer les clients cibles est important pour définir l’offre de service répondant aux besoins et aux attentes de la clientèle. Cette étape permet de se positionner clairement dans le milieu et d’établir une proposition de service avec une valeur ajoutée. Une fois les cibles choisies, il ne reste plus qu’à bien formuler l’offre en fonction du chaque micro cible.

Définir clairement les paramètres du projet

Avant de se lancer dans le métier du consultant auto-entrepreneur, il est important de bien définir les paramètres du projet. Pour ce faire, il peut être nécessaire d’effectuer une étude de marché dans le domaine d’activité de conseil choisi et de monter un business plan avec le prévisionnel. Quand les différents aspects du projet sont clairs, il sera plus facile de choisir le statut juridique de l’entreprise et son objet social.

Mettre en place une stratégie marketing et de communication

La mise en place d’une stratégie marketing et de communication s’avère efficace dans la recherche de clients. Le consultant auto-entrepreneur se doit de réaliser une campagne de prospection auprès de ses clients cibles. Il est aussi important de se faire connaître par le biais des différents moyens de communication, notamment Internet. Il peut être efficace de créer un site web dédié à l’activité de conseils pour présenter l’offre de service.

Pour en savoir plus sur les différentes professions libérales exerçables en tant qu’auto-entrepreneur :

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Co-fondateur LegalPlace, Mehdi est diplômé du magistère DJCE et avocat. Il a exercé plus de 12 ans au sein de cabinets anglo-saxons et français en droit des sociétés, fusions-acquisition et capital investissement.

Dernière mise à jour le 01/12/2023

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Co-fondateur LegalPlace, Mehdi est diplômé du magistère DJCE et avocat. Il a exercé plus de 12 ans au sein de cabinets anglo-saxons et français en droit des sociétés, fusions-acquisition et capital investissement.